Notice patient

NOTICE

ANSM - Mis à jour le : 07/11/2013

Dénomination du médicament

CYTARABINE EBEWE 50 mg/ml, solution injectable

Cytarabine

Encadré

Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant de utiliser ce médicament.

· Gardez cette notice, vous pourriez avoir besoin de la relire.

· Si vous avez toute autre question, si vous avez un doute, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien.

· Ce médicament vous a été personnellement prescrit. Ne le donnez jamais à quelqu’un d’autre, même en cas de symptômes identiques, cela pourrait lui être nocif.

· Si l’un des effets indésirables devient grave ou si vous remarquez un effet indésirable non mentionné dans cette notice, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien.

Sommaire notice

Dans cette notice :

1. Qu'est-ce que CYTARABINE EBEWE 50 mg/ml, solution injectable et dans quels cas est-il utilisé ?

2. Quelles sont les informations à connaître avant d'utiliser> CYTARABINE EBEWE 50 mg/ml, solution injectable ?

3. Comment utiliser CYTARABINE EBEWE 50 mg/ml, solution injectable ?

4. Quels sont les effets indésirables éventuels ?

5. Comment conserver CYTARABINE EBEWE 50 mg/ml, solution injectable ?

6. Informations supplémentaires.

1. QU’EST-CE QUE CYTARABINE EBEWE 50 mg/ml, solution injectable ET DANS QUELS CAS EST-IL UTILISE ?

Classe pharmacothérapeutique

ANTIMETABOLITES.

Indications thérapeutiques

· La cytarabine est essentiellement indiquée dans le traitement des leucémies aiguës :

o principalement les leucémies aiguës myéloblastiques de l'adulte et de l'enfant, à doses conventionnelles lors du traitement d'induction de la rémission et du traitement d'entretien, à hautes doses dans les formes dites réfractaires ou en cas de rechute.

o les leucémies aiguës lymphoblastiques notamment en cas de rechute.

o les leucémies secondaires, où les hautes doses sont les plus utilisées.

· Dans le traitement curateur des localisations méningées de ces leucémies aiguës, l'utilisation par voie intrathécale de la cytarabine est particulièrement intéressante et peut être associée au méthotrexate et aux corticoïdes.

· Enfin, la cytarabine peut être utilisée dans certains cas de lymphomes non hodgkiniens voire d'autres tumeurs solides, le plus souvent à doses conventionnelles.

2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT D’UTILISER CYTARABINE EBEWE 50 mg/ml, solution injectable ?

Liste des informations nécessaires avant la prise du médicament

Sans objet.

Contre-indications

N'utilisez jamais CYTARABINE EBEWE 50 mg/ml, solution injectable dans les cas suivants :

Celles communes à toute thérapeutique anti-mitotique :

· Aplasie médullaire pré-existante.

· Hypersensibilité à la cytarabine.

· Grossesse (cf rubrique Grossesse et allaitement).

· Allaitement (cf rubrique Grossesse et allaitement).

· Encéphalopathies dégénératives et toxiques, notamment après l'emploi du méthotrexate ou de traitement par les radiations ionisantes.

Précautions d'emploi ; mises en garde spéciales

Faites attention avec CYTARABINE EBEWE 50 mg/ml, solution injectable :

Précautions d'emploi

· La cytarabine doit être administrée sous stricte surveillance médicale. En particulier au cours du traitement d'induction : on pratiquera, de façon répétée: numération formule sanguine et examens médullaires (myélogramme), afin d'apprécier les résultats thérapeutiques et la toxicité hématologique du traitement.

· Aplasie médullaire préexistante: la cytarabine peut être administrée en cas de nécessité absolue à doses conventionnelles.

· On surveillera les fonctions rénales et hépatiques. Les doses peuvent être diminuées en cas d'insuffisance hépatique.

Pendant le traitement, surveiller le taux d'acide urique et prévenir l'hyperuricémie.

Interactions avec d'autres médicaments

Prise ou utilisation d'autres médicaments :

La cytarabine ne doit pas être administrée conjointement avec le 5-fluoro-uracile.

Veuillez indiquer à votre médecin ou à votre pharmacien si vous prenez ou avez pris récemment un autre médicament, même s'il s'agit d'un médicament obtenu sans ordonnance.

Interactions avec les aliments et les boissons

Sans objet.

Interactions avec les produits de phytothérapie ou thérapies alternatives

Sans objet.

Utilisation pendant la grossesse et l'allaitement

Grossesse et Allaitement

Ce médicament est contre-indiqué pendant la grossesse et l’allaitement, sauf avis contraire de votre médecin.

D’une façon générale il convient au cours de la grossesse ou de l’allaitement de toujours demander l’avis de votre médecin ou de votre pharmacien avant d’utiliser un médicament.

Sportifs

Sans objet.

Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines

Conduite de véhicules et utilisation de machines

La cytarabine a une influence modérée sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Si vous souffrez de vomissements, de vertiges et de problèmes oculaires, ne pas conduire ni utiliser de machine.

Liste des excipients à effet notoire

Sans objet.

3. COMMENT UTILISER CYTARABINE EBEWE 50 mg/ml, solution injectable ?

Instructions pour un bon usage

Sans objet.

Posologie, Mode et/ou voie(s) d'administration, Fréquence d'administration et Durée du traitement

Posologie

La posologie et le mode d'administration varient selon le protocole thérapeutique utilisé.

A dose conventionnelles :

La cytarabine peut être utilisée par différentes voies d'administration :

· Voie I.V. en injection ou en perfusion directe: lorsque la cytarabine est administrée rapidement, les doses injectées peuvent être plus importantes que celles qui le seraient par perfusion lente; ceci est dû à l'inactivation rapide du produit et à sa durée de contact très courte avec les cellules néoplasiques et normales sensibles.

· Voie sous-cutanée: la cytarabine est particulièrement bien tolérée par cette voie. On observe très rarement des douleurs et inflammations aux points d'injection.

· Voie intrarachidienne: la cytarabine est utilisée dans le traitement préventif et curatif des localisations méningées des leucémies aiguës lymphoblastiques de l'enfant.

· Quelle que soit la voie d'administration: l'expérience clinique acquise suggère que les résultats obtenus par la cytarabine dépendent étroitement des modifications posologiques de façon à détruire le plus de cellules blasiques avec le moins d'effet toxique.

· Une association polychimiothérapique entraîne des modifications de posologie pour chacun des constituants du protocole.

Schéma thérapeutique :

Différents schémas thérapeutiques utilisant la cytarabine ont été proposés :

1 - Leucémies aiguës myéloïdes :

Les posologies données en mg/m2 de surface corporelle sont utilisables chez l'adulte et l'enfant.

a) Traitement d'induction :

Chimiothérapie d'association (toujours avec une anthracycline, parfois avec d'autres antinéoplasiques): 100 à 200 mg/m2/jour pendant 5 à 7 jours, en 2 cures séparées de 2 à 4 semaines (en fonction des résultats thérapeutiques et de la tolérance).

b) Traitement d'entretien et réinduction :

Des réinductions peuvent être faites avec le même protocole de chimiothérapie que celui qui a permis d'obtenir la rémission. Les cycles sont alors plus espacés et les doses inférieures.

La voie sous-cutanée peut être utilisée dans les traitements d'entretien par exemple: 120 mg/m2/semaine, administrés en 1 à 2 fois.

2 - Leucémies aiguës lymphoblastiques :

a) Traitement d'induction et d'entretien :

Les protocoles utilisés sont assez voisins de ceux du traitement des leucémies aiguës myéloïdes. Ils utilisent des associations comprenant principalement: cytarabine-vincristine-prednisolone.

b) Traitement des localisations méningées par voie intrarachidienne :

A titre préventif, on propose: cytarabine : 20 à 30 mg/m2, parfois associée au méthotrexate et à l'hydrocortisone.

Pour l'enfant de moins de 3 ans, la dose de cytarabine est de 30 mg/m2. A titre curatif, on utilise habituellement la dose de 20 mg/m2 une à deux fois par semaine.

A hautes doses:

· la cytarabine doit être administrée en milieu hospitalier, sous stricte surveillance médicale.

· elle est administrée en perfusion d'une durée d'1 à 3 heures, dans 250 ou 500 ml de solution isotonique de glucose ou de solution isotonique de chlorure de sodium, à une posologie de 2 à 3 g/m2 toutes les 12 heures; soit 4 à 6 g/m2/24 heures pendant 6 jours (soit 12 doses au total par cure),

· la fréquence des cures est fonction du résultat thérapeutique et de la. toxicité hématologie et extra-hématologique,

· des contrôles répétés, sanguins et médullaires devront être effectués, surtout en début de traitement. Les fonctions hépatiques et rénales seront également surveillées,

· l'adaptation de la posologie se fait en fonction des résultats des examens sanguins et médullaires. Habituellement le traitement est interrompu si :

o les plaquettes sont inférieures à 50 000/mm3,

o les polynucléaires neutrophiles sont inférieurs à 1000-1500/mm3,

o la reprise du traitement se fait dès que les chiffres des numérations le permettent et dès que les cellules blastiques réapparaissent dans le sang ou dans la moelle. Le fait d'attendre la normalisation de la numération pour reprendre le traitement est préjudiciable au contrôle ultérieur de la maladie,

o les posologies seront aussi modifiées en cas de phénomènes toxiques autres qu'hématologiques et en cas d'association à d'autres agents chimiothérapeutiques.

· la cytarabine peut être utilisée en monothérapie et en association. Différents schémas thérapeutiques ont été utilisés. A titre indicatif: l'ARAC-C, à la dose de 3 g/m2 en perfusion I.V. de 1 à 3 heures toutes les 12 heures pendant 4 à 6 jours a pu être associée à de l'Adriamycine (30 mg/m2 J6 et J7), à de l'Asparaginase (6.000 unités/m2), à de la Rubidazone, à de l'AMSA (150 à 200 mg/m2/jour x 3), avec des résultats thérapeutiques significatifs. La toxicité hématologique est souvent plus prononcée, de même que la toxicité digestive, notamment sous forme de mucite.

A l'attention du personnel soignant :

Comme pour tout cytotoxique, la préparation et la manipulation de ce produit nécessitent un ensemble de précautions permettant d'assurer la protection du manipulateur et de son environnement, dans les conditions de sécurité requises pour le patient.

En plus des précautions usuelles pour préserver la stérilité des préparations injectables, il faut :

· mettre une blouse à manches longues et poignets serrés, afin d'éviter toute projection de solution sur la peau,

· porter également un masque chirurgical à usage unique et des lunettes enveloppantes,

· mettre des gants à usage unique en PVC, et non en latex, après lavage aseptique des mains,

· préparer la solution sur un champ de travail,

· arrêter la perfusion, en cas d'injection hors de la veine,

· éliminer tout matériel ayant servi à la préparation de la solution (seringues, compresses, champs, flacon) dans un conteneur réservé à cet effet,

· détruire les déchets toxiques,

· manipuler les excreta et vomissures avec précaution.

Les femmes enceintes doivent éviter la manipulation des cytotoxiques.

Symptômes et instructions en cas de surdosage

Si vous avez utilisé plus de CYTARABINE EBEWE 50 mg/ml, solution injectable qu’il ne fallait :

Il n'existe pas d'antidote spécifique. La dose de 4,5 g/m2 en perfusion IV d'une heure toutes les 12 heures en 12 doses provoque une toxicité du système nerveux central irréversible et létale.

Instructions en cas d'omission d'une ou de plusieurs doses

Sans objet.

Risque de syndrome de sevrage

Sans objet.

Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament demander plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien.

4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ?

Description des effets indésirables

Comme tous les médicaments, CYTARABINE EBEWE 50 mg/ml, solution injectable est susceptible d'avoir des effets indésirables, bien que tout le monde n'y soit pas sujet.

A dose conventionnelle

Effets attendus sur le système hématopoïétique :

· la cytarabine est un agent antinéoplasique qui entraîne une myélodépression. Son administration entraîne donc une aplasie ou une hypoplasie médullaire, responsable d'anémie, granulopénie, thrombopénie, mégaloblastose et chute du taux des réticulocytes. La sévérité de l'aplasie dépend de la dose administrée et du schéma thérapeutique utilisé.

En relation avec l'aplasie, des complications hémorragiques ou infectieuses graves peuvent venir compliquer secondairement la cure de chimiothérapie.

Autres effets secondaires fréquents :

· nausées, vomissements sont assez fréquents surtout en cas d'injection intraveineuse rapide,

· anorexie, douleurs abdominales, diarrhée,

· ulcérations des muqueuses (buccales, anales),

· rashs cutanés,

· poussées fébriles,

· modifications transitoires des fonctions hépatiques,

· aménorrhée, azoospermie.

Effets immunoallergiques : "Syndrome de la cytarabine".

Ils se caractérisent par élévation thermique, myalgies, douleurs osseuses, accompagnées, dans certains cas, de douleurs thoraciques, rashs maculopapuleux, conjonctivite et sensation de malaise général. Ce syndrome intervient 6 à 12 heures après l'administration du produit, il répond bien au traitement préventif et curatif par les corticoïdes.

Effets secondaires et toxicité de la voie intrarachidienne :

· la cytarabine, par voie intrarachidienne, peut provoquer des signes de toxicité systémique (système hématopoïétique) et les mêmes effets secondaires de type nausées et vomissements,

· des accidents de paraplégies ont été rapportés (exceptionnellement) Leucoencéphalite nécrosante au cours d'un traitement associant cytarabine-méthotréxate-corticoïde. Ces malades avaient aussi reçu une irradiation encéphalique.

Des cas isolés de neurotoxicité ont été rapportés. Deux cas de cécité ont été décrits chez des sujets mis en rémission après polychimiothérapie intraveineuse et traitement préventif des greffes méningées avec la cytarabine intrarachidienne et radiothérapie de l'encéphale.

Autres effets secondaires rarement observés :

· ulcérations cutanées, ictère, troubles urinaires (rétention, modification biologique), thrombophlébites et cellulite au point d'injection.

A haute dose

Outre les effets indésirables déjà notés aux doses conventionnelles :

· Toxicité hématologique :

o pancytopénie profonde durant de 15 à 25 jours,

o l'utilisation de hautes doses peut entraîner une aplasie médullaire plus profonde que celle observée aux doses conventionnelles, la sévérité de l'aplasie étant dose-dépendante, il est donc impératif que le traitement, justifiant l'emploi de ces doses, soit instauré en milieu spécialisé.

· Toxicité neurologique centrale :

o atteintes cérébelleuses sous forme, au minimum, de dysarthrie et d'un nystagmus, au maximum d'une grande ataxie qui peut être d'apparition retardée et être définitive. Des épisodes de comas, des troubles du comportement ont aussi été rapportés. Des cas graves voire létaux ont été observés chez des malades ayant déjà reçu antérieurement d'autres traitements sur le système nerveux central (irradiation encéphalique): on recommande de ne pas dépasser la dose unitaire et on sera très prudent chez les patients ayant déjà reçu un traitement radiothérapique ou intrathécal.

La toxicité neurologique semble en rapport avec un débit rapide d'administration.

· Toxicité cornéenne et conjonctivale :

o des atteintes réversibles de la cornée et des conjonctivites hémorragiques ont été décrites.

o Ces phénomènes peuvent être prévenus ou diminués par l'instillation d'un collyre contenant des corticoïdes.

· Toxicité digestive :

o outre nausées, vomissements, plus fréquents à la suite d'une perfusion rapide, risque de stomatite et de mucite.

· Toxicité cutanée :

o à type de rash ou de dermite exfoliative,

o alopécie totale.

Ont également été signalés dans de rares cas :

· ulcérations gastro-intestinales sévères avec perforation et péritonite, nécrose intestinale, colite nécrosante, abcès hépatique.

· altération fonctionnelle hépatique avec élévation de la bilirubine.

· œdème pulmonaire.

L'utilisation de haute dose s'accompagne d'une hyperuricémie secondaire à la lyse blastique induite par le traitement à la cytarabine, comme avec toute chimiothérapie antinéoplasique. Ce phénomène peut également se rencontrer lors de l'emploi de la cytarabine à doses conventionnelles. Il sera donc nécessaire de surveiller le taux d'acide urique dans le sang et les urines.

Si vous remarquez des effets indésirables non mentionnés dans cette notice, ou si certains effets indésirables deviennent graves, veuillez en informer votre médecin ou votre pharmacien.

5. COMMENT CONSERVER CYTARABINE EBEWE 50 mg/ml, solution injectable ?

Tenir hors de la portée et de la vue des enfants.

Date de péremption

Ne pas utiliser CYTARABINE EBEWE 50 mg/ml, solution injectable après la date de péremption mentionnée sur le conditionnement extérieur. La date d’expiration fait référence au dernier jour du mois.

Conditions de conservation

Avant ouverture : A conserver à une température ne dépassant pas 25°C

Après ouverture : la stabilité physico-chimique a été démontrée sur 28 jours à une température comprise entre 20°C et 25°C, au réfrigérateur (entre 2°C et 8°C) et au congélateur (à -20°C). Toute autre durée et condition de conservation lors de l'utilisation sont sous la responsabilité de l'utilisateur.

Après ouverture ou après dilution à une concentration de 0,1 mg/ml et de 20 mg/ml dans une solution de chlorure de sodium à 0,9% : la stabilité physico-chimique de la solution injectable a été démontrée pendant 28 jours à une température comprise entre 2°C et 8°C et entre 20°C et 25°C.

Après ouverture ou après dilution à une concentration de 20 mg/ml dans une solution de glucose à 5 % : la stabilité physico-chimique de la solution injectable à été démontrée pendant 28 jours à une température comprise entre 2°C et 8°C et entre 20°C et 25°C

Après ouverture ou après dilution à une concentration de 0,1 mg/ml dans une solution de glucose à 5% : la stabilité physico-chimique de la solution injectable a été démontrée pendant 28 jours à une température comprise entre 2°C et 8°C et pendant 14 jours à une température comprise entre 20°C et 25°C.

Toutefois, d'un point de vue microbiologique, le produit doit être utilisé immédiatement, en cas d'utilisation non immédiate, les durées et conditions de conservation après dilution et avant utilisation relèvent de la seule responsabilité de l'utilisateur et ne devraient pas dépasser 24 heures à une température comprise entre 2°C et 8°C.

Si nécessaire, mises en garde contre certains signes visibles de détérioration

Les médicaments ne doivent pas être jetés au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien ce qu’il faut faire des médicaments inutilisés. Ces mesures permettront de protéger l’environnement.

6. INFORMATIONS SUPPLEMENTAIRES

Liste complète des substances actives et des excipients

Que contient CYTARABINE EBEWE 50 mg/ml, solution injectable ?

La substance active est :

Cytarabine ......................................................................................................................................... 50 mg

Pour 1 ml de solution injectable.

Un flacon de 10 ml contient 500 mg de cytarabine

Un flacon de 20 ml contient 1000 mg de cytarabine.

Un flacon de 40 ml contient 2000 mg de cytarabine.

Les autres composants sont :

Lactate de sodium, acide lactique, eau pour préparations injectables.

Forme pharmaceutique et contenu

Qu'est-ce que CYTARABINE EBEWE 50 mg/ml, solution injectable et contenu de l'emballage extérieur ?

Ce médicament se présente sous la forme d’une solution injectable. Boîte de 1, 5 ou de 10 flacons de 10 ml, 20 ml et 40 ml.

Nom et adresse du titulaire de l'autorisation de mise sur le marché et du titulaire de l'autorisation de fabrication responsable de la libération des lots, si différent

Titulaire

SANDOZ

49, avenue Georges Pompidou

92300 Levallois-Perret

Exploitant

SANDOZ

49, avenue Georges Pompidou

92300 LEVALLOIS PERRET

Fabricant

EBEWE Pharma Ges.m.b.H. Nfg. KG

Mondseestrasse 11

4866 Unterach

AUTRICHE

Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen

Conformément à la réglementation en vigueur.

Date d’approbation de la notice

La dernière date à laquelle cette notice a été approuvée est le {date}.

AMM sous circonstances exceptionnelles

Sans objet.

Informations Internet

Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’Ansm (France).

Informations réservées aux professionnels de santé

Sans objet.

Autres

Sans objet.