L’orgasme est une compétence qui s’acquiert à l’ancienneté, disait un sexologue. On ne saurait mieux dire, certaines femmes découvrent le septième ciel à cette période.
La ménopause n’est plus ce qu’elle était ! L’espérance moyenne de vie d’une femme de 50 ans est d’encore 34 ans, largement le temps d’explorer de nouveaux horizons.
Dans son rapport sur la sexualité féminine, vendu à des dizaines de millions d’exemplaires dans le monde, et qui reste encore la référence aujourd’hui, Shire Hite rapportait le témoignage de nombreuses femmes qui avaient expérimenté l’orgasme et les raffinements de l’amour pour la première fois à cette période. Certaines avaient pris un amant ou avaient découvert leur homosexualité sur le tard (voir ci-dessous).
La clé de ce mystère ? Elle est plurielle, naturellement. Libérées de la pression du travail et de l’éducation des enfants, les femmes ont pris le temps de penser à elles. Elles se sont dit que leur horloge charnelle s’accélérait et qu’il était temps de choisir son camp : renoncer à toute sexualité avec la ménopause, ou au contraire, saisir cette dernière chance avant qu’il ne soit trop tard pour l’amour et la séduction.
Le triomphe du clitoris
L’action des androgènes de la femme (sécrétés par les ovaires et les glandes surrénales) n’est plus contrariée par la sécrétion des œstrogènes qui cesse à la ménopause. Du coup, le clitoris connaît une nouvelle jeunesse à cette période.
Comme l’écrit le Dr Gérard Leleu (« Il n’y a pas d’âge pour s’aimer », Flammarion, 2015), « non seulement, il ne s’atrophie pas et ne s’éteint pas, mais il devient plus sensible, et parfois même il croît ».
Cela est dû à l’accroissement relatif du taux de testostérone (un androgène surnommé « l’hormone du désir »). Pour les mêmes raisons, la libido peut aussi augmenter, et certaines femmes voient croître leur plaisir. Mais d’autres souffriront d’une légère rétractation des lèvres (petites et grandes), leur orifice vulvaire pourra se rétrécir, entraînant des douleurs lors de la pénétration et un frottement du méat urinaire à l’origine de brûlures en urinant après l’amour. Les parois du vagin pourront perdre en souplesse et en humidité, entraînant une sécheresse vaginale.
Une sexualité épanouie à cette période nécessite une certaine disposition d’esprit, de l’implication, de l’entraînement, voire des adjuvants ou des traitements :
(Source : Le nouveau rapport Hite, éd. Robert Laffont)
La ménopause n’est plus ce qu’elle était ! L’espérance moyenne de vie d’une femme de 50 ans est d’encore 34 ans, largement le temps d’explorer de nouveaux horizons.
Dans son rapport sur la sexualité féminine, vendu à des dizaines de millions d’exemplaires dans le monde, et qui reste encore la référence aujourd’hui, Shire Hite rapportait le témoignage de nombreuses femmes qui avaient expérimenté l’orgasme et les raffinements de l’amour pour la première fois à cette période. Certaines avaient pris un amant ou avaient découvert leur homosexualité sur le tard (voir ci-dessous).
La clé de ce mystère ? Elle est plurielle, naturellement. Libérées de la pression du travail et de l’éducation des enfants, les femmes ont pris le temps de penser à elles. Elles se sont dit que leur horloge charnelle s’accélérait et qu’il était temps de choisir son camp : renoncer à toute sexualité avec la ménopause, ou au contraire, saisir cette dernière chance avant qu’il ne soit trop tard pour l’amour et la séduction.
Le triomphe du clitoris
L’action des androgènes de la femme (sécrétés par les ovaires et les glandes surrénales) n’est plus contrariée par la sécrétion des œstrogènes qui cesse à la ménopause. Du coup, le clitoris connaît une nouvelle jeunesse à cette période.
Comme l’écrit le Dr Gérard Leleu (« Il n’y a pas d’âge pour s’aimer », Flammarion, 2015), « non seulement, il ne s’atrophie pas et ne s’éteint pas, mais il devient plus sensible, et parfois même il croît ».
Cela est dû à l’accroissement relatif du taux de testostérone (un androgène surnommé « l’hormone du désir »). Pour les mêmes raisons, la libido peut aussi augmenter, et certaines femmes voient croître leur plaisir. Mais d’autres souffriront d’une légère rétractation des lèvres (petites et grandes), leur orifice vulvaire pourra se rétrécir, entraînant des douleurs lors de la pénétration et un frottement du méat urinaire à l’origine de brûlures en urinant après l’amour. Les parois du vagin pourront perdre en souplesse et en humidité, entraînant une sécheresse vaginale.
Une sexualité épanouie à cette période nécessite une certaine disposition d’esprit, de l’implication, de l’entraînement, voire des adjuvants ou des traitements :
(Source : Le nouveau rapport Hite, éd. Robert Laffont)
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