La sécheresse vaginale concerne une majorité de femmes après la ménopause. Cette privation hormonale liée à la ménopause représente même la première cause de sécheresse vaginale, mais de nombreux médicaments peuvent aussi être impliqués. Certaines maladies auto-immunes, comme le syndrome de Gougerot-Sjögren, ne doivent pas être oubliées.
La sécheresse vaginale est manque d’hydratation du vagin.
Les douleurs lors des rapports sexuels s’appellent des « dyspareunies ».
Si les dyspareunies sont isolées, cela peut être un simple « défaut de lubrification ».
La sécheresse vaginale touche plus de la moitié des femmes après la ménopause, mais elle peut survenir à tout âge : il y a des femmes jeunes, entre vingt et trente ans, qui peuvent se plaindre de sécheresse vaginale pour différentes raisons.
La sécheresse vaginale est un manque d’hydratation du vagin qui se manifeste par des irritations, des démangeaisons, une inflammation et des douleurs au niveau du vagin, en particulier au moment des rapports sexuels (« dyspareunie »).
L’hydratation physiologique du vagin est un mécanisme constant à différencier de la sécrétion de liquide lubrifiant au moment des rapports sexuels. Une adolescente peut avoir une lubrification vaginale en quelques secondes, alors que pour une femme ménopausée, cela peut prendre 2 ou 3 minutes. Mais il faut bien différencier la sécheresse vaginale où il y a une gêne ou des douleurs permanentes, aggravée au moment des rapports sexuels, des douleurs qui surviennent uniquement au moment des rapports sexuels et qui sont plutôt dues à un défaut de lubrification, sans véritable sécheresse vaginale, ou à d’autres causes, comme des infections du vagin.