- Passer de bonnes nuits est essentiel pour être en bonne santé.
- Chaque personne à besoin d'un temps de récupération différent, mais il est conseillé de dormir entre 7 et 8 heures par nuit.
Un nouveau sondage produit par Wopilo s’est penché sur le rapport qu’ont actuellement les Français avec leur sommeil.
Pouvoir naturel des endorphines
D’abord interrogés sur les gestes qu’ils privilégient pour s’endormir, les Français continuent de mettre en avant des solutions naturelles. Ainsi, 56 % optent pour la lecture, et, même s’ils savent à 80 % que les écrans ne sont pas recommandés avant de dormir, 44 % visionnent quand même un film ou une série au moment du coucher.
Un répondant sur trois (33 %) optera ensuite pour le pouvoir naturel des endorphines après avoir fait l’amour. "Presque aussi naturelle, la tisane relaxante est plébiscitée par 26 % des sondés. Enfin, tendance de plus en plus forte, la méditation est pratiquée par 20% des répondants pour s’endormir plus vite", peut-on aussi lire dans cette nouvelle enquête.
Autres chiffres intéressants : après avoir rencontré des difficultés en la matière durant les périodes de confinement, les Français vont mieux côté sommeil : 25 % dorment bien ou très bien. Pour 65 %, "cela dépend des périodes", et seules 11% des personnes interrogées affirment dormir mal ou très mal.
Sacrifier une fête en échange d’une bonne nuit
Autre signe de ce retour à une relation plus apaisée à nos nuits : 70 % d’entre nous considèrent le sommeil comme un plaisir. C’est même, pour 46%, LE secret de leur forme, beauté ou intelligence ! Seuls 22 % le considèrent comme un problème, et 9 % comme une perte de temps incompressible. "Malgré les injonctions de notre société à être toujours plus productif, la tendance de la « slow life » gagne du terrain !", commentent les auteurs du sondage.
Ce sommeil est-il apprécié au point de renoncer à d’autres activités, et si oui lesquelles ? Pour 62 % des sondés, la réponse est claire : ils seraient prêts à sacrifier une soirée de fête en échange d’une bonne nuit ! En deuxième position, 53 % estiment que le visionnage de leur série préférée peut bien attendre face à la perspective d’un sommeil réparateur. Un sondé sur trois (34 %) serait également prêt à tourner le dos à un bon repas pour lui préférer une bonne nuit, et pour 22 % des Français, c’est une discussion enrichissante avec un proche qu’ils seraient prêts à sacrifier.